« Avant que le chemin n’existe, tout le monde devait prendre la voiture pour aller où que ce soit dans le quartier. Maintenant, les gens se rencontrent sur le chemin pour marcher côte-à-côte et se parler. Le chemin a donné à la ville quelque chose pour l’unir, par-delà les clivages des revenus, de l’âge ou du lieu de résidence ; et en même temps, il a permis de préserver un bord de rivière spectaculaire et auparavant privé, pour que chacun puisse en jouir en toutes saisons ». Un habitant de Stowe (Vermont), 1993 (citation extraite de « Ecological Networks and Greenways », 2005, p. 290).
Est-il possible d’exprimer de façon plus simple et convaincante la nécessaire polyvalence des trames vertes ? Rien d’étonnant à ce que cette citation serve de conclusion à l’ouvrage ci-dessus, qui est une référence internationale sur la question des trames vertes et des réseaux écologiques.
Date de l’article d’origine : 22 août 2012. Photo prise à Nouaillé-Maupertuis (Vienne).